Le jeûne intermittent fait partie des outils du moment pour cibler la perte de poids et l’amélioration de la santé métabolique. À quel moment se lancer ? Est-il adapté à tous ? On fait le point sur les pour et les contre de cette pratique.
Le saviez-vous ? Il se peut que vous ayez déjà pratiqué le jeûne intermittent. Il suffit en effet de sauter le petit-déjeuner, par exemple, et d’attendre l’heure du déjeuner pour en adopter la logique. Côté bienfaits et inconvénients, c’est par-là !
C’est mécanique. En limitant les prises alimentaires par la réduction du nombre de repas, le jeûne intermittent conduit à réduire naturellement ses apports caloriques, favorisant la perte de poids. Le plus : il n’est pas nécessaire de compter les calories consommées.
Le jeûne intermittent aurait des effets positifs sur la régulation des niveaux de sucre dans le sang, favorisant ainsi la lutte contre l’obésité et le diabète de type 2.
Jeûner de manière intermittente permettrait de réduire le processus inflammatoire responsable de nombreuses pathologies ainsi que du vieillissement. Il améliorerait ainsi le renouvellement cellulaire, cultivant notre bonne santé.
En laissant nos organes digestifs au repos, le jeûne intermittent facilite le processus de détoxification naturelle.
Retrouver la sensation de faim et de satiété peut être précieux pour celles et ceux qui mangent de manière automatique.
Notre conseil : avant de vous lancer, songez à demander l’avis d’un professionnel de santé qui saura, selon votre âge, votre sexe, votre niveau d’activité physique, vous orienter sur la méthode la plus adaptée à votre profil.
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Auteur : Séverine